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Théâtre
Un virus hautement contagieux sème la mort – et la panique – dans la population d’une ville sans nom( tiens ça me rappelle quelque chose). La peur se répand à la vitesse de l’éclair et d’habiles personnages tentent d’en tirer profit. « Jeux de massacre » d’Eugène Ionesco, brosse, il faut l’admettre, le portrait d’une société qui ressemblerait à la nôtre. La pièce a été présentée pour la première fois en 1970, et fut même une œuvre emblématique du « théâtre de l’absurde », mais le « théâtre de l’absurde » de 1970, est-il moins « absurde » que la réalité de 2021 ? « Jeux de massacre » trouve, c’est l’évidence, un écho dans notre quotidien.la peur de mourir, l’angoisse de ne trouver une justification à la mort, mais Ionesco, par son art du non-sens, se joue de notre aveuglement et renverse la perspective en parvenant à nous permettre d’en rire. C’est pourtant bien de la mort dont il s’agit. La clairvoyance d’Ionesco qui réaffirme que, même si la vie et la mort n’ont aucun sens, la peur demeure l’ennemie de la liberté d’action, de parole et de pensée.
Entrée libre
Sur le Parvis du Bastion de France
Tournée des hameaux
Lundi 12 juillet – 21h : place de la Mairie annexe de Murateddu
Lundi 19 juillet – 21h : place de l’église U Spidali
Lundi 23 août – 21h : place de la chapelle d’Arca
Mardi 24 août – 21h : maison communale de Pricoghju
Entrée libre
[:co]
Théâtre
Un virus hautement contagieux sème la mort – et la panique – dans la population d’une ville sans nom( tiens ça me rappelle quelque chose). La peur se répand à la vitesse de l’éclair et d’habiles personnages tentent d’en tirer profit. « Jeux de massacre » d’Eugène Ionesco, brosse, il faut l’admettre, le portrait d’une société qui ressemblerait à la nôtre. La pièce a été présentée pour la première fois en 1970, et fut même une œuvre emblématique du « théâtre de l’absurde », mais le « théâtre de l’absurde » de 1970, est-il moins « absurde » que la réalité de 2021 ? « Jeux de massacre » trouve, c’est l’évidence, un écho dans notre quotidien.la peur de mourir, l’angoisse de ne trouver une justification à la mort, mais Ionesco, par son art du non-sens, se joue de notre aveuglement et renverse la perspective en parvenant à nous permettre d’en rire. C’est pourtant bien de la mort dont il s’agit. La clairvoyance d’Ionesco qui réaffirme que, même si la vie et la mort n’ont aucun sens, la peur demeure l’ennemie de la liberté d’action, de parole et de pensée.
Entrée libre
Sur le Parvis du Bastion de France
Tournée des hameaux
Lundi 12 juillet – 21h : place de la Mairie annexe de Murateddu
Lundi 19 juillet – 21h : place de l’église U Spidali
Lundi 23 août – 21h : place de la chapelle d’Arca
Mardi 24 août – 21h : maison communale de Pricoghju
Entrée libre
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Bastion de France - Bastione di Francia, Rue du Bastion de France, Porto-Vecchio, France