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Sans nul doute, peinture et littérature n’ont jamais été aussi proches. C’est le sentiment que l’on a, quand on se rend au Bastion de France pour l’exposition de Mélissa-Hélène Galin qui a débuté hier soir. Il est vrai que les toiles de Mélissa-Hélène Galin sont accompagnées de fort belle manière par les textes de Ferdinand Laignier-Colonna.
Au-delà d’une évidente complémentarité, il s’agit, même, d’une véritable osmose issue d’une rencontre, effectuée il y a trois ans déjà, que Mélissa-Hélène Galin résumait simplement : « les textes de Ferdinand traduisent parfaitement ce que j’ai peint et mes émotions ».
L’artiste et le docteur en littérature composent un duo tout en sensibilité où les épreuves de l’existence sont magnifiées par le pinceau et la plume. Un rendez-vous peu commun où l’intime, fondé sur les rêves mais aussi le quotidien avec cet incontournable mélange des émotions, est omniprésent. Tout cela donne une exposition colorée, explosive, mais dans le même temps, très musicale, qui ne peut laisser indifférent.
Anamnèse, ce retour à la mémoire, est à visiter sans modération. Une plongée, tout au long de la vingtaine de toiles, dans l’épaisseur des sentiments et la profondeur des textes. Tout cela interpelle car ce mélange émotionnel n’est pas anodin..loin de là. Une vraie réflexion sur la vie qui, dans tous les cas, est triomphante.
Cette exposition sera visible jusqu’au 7 novembre prochain au Bastion de France, du mardi au samedi de 10 heures à 13h30 et de 16h30 à 20 heures
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Sans nul doute, peinture et littérature n’ont jamais été aussi proches. C’est le sentiment que l’on a, quand on se rend au Bastion de France pour l’exposition de Mélissa-Hélène Galin qui a débuté hier soir. Il est vrai que les toiles de Mélissa-Hélène Galin sont accompagnées de fort belle manière par les textes de Ferdinand Laignier-Colonna.
Au-delà d’une évidente complémentarité, il s’agit, même, d’une véritable osmose issue d’une rencontre, effectuée il y a trois ans déjà, que Mélissa-Hélène Galin résumait simplement : « les textes de Ferdinand traduisent parfaitement ce que j’ai peint et mes émotions ».
L’artiste et le docteur en littérature composent un duo tout en sensibilité où les épreuves de l’existence sont magnifiées par le pinceau et la plume. Un rendez-vous peu commun où l’intime, fondé sur les rêves mais aussi le quotidien avec cet incontournable mélange des émotions, est omniprésent. Tout cela donne une exposition colorée, explosive, mais dans le même temps, très musicale, qui ne peut laisser indifférent.
Anamnèse, ce retour à la mémoire, est à visiter sans modération. Une plongée, tout au long de la vingtaine de toiles, dans l’épaisseur des sentiments et la profondeur des textes. Tout cela interpelle car ce mélange émotionnel n’est pas anodin..loin de là. Une vraie réflexion sur la vie qui, dans tous les cas, est triomphante.
Cette exposition sera visible jusqu’au 7 novembre prochain au Bastion de France, du mardi au samedi de 10 heures à 13h30 et de 16h30 à 20 heures
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